Enseignement supérieur : le Groupe IHEM, victime de ses succès

Enseignement supérieur : le Groupe IHEM, victime de ses succès

La dimension désormais prise par le groupe IHEM International n’a pas été usurpée. Elle est le résultat d’un processus de longue haleine, eu égard à l’abnégation, au volontarisme, au dynamisme, au pragmatisme et surtout aux ambitions de son Fondateur, le Dr Oyono Ebang Constant. Un compatriote qui s’est juré d’apporter sa pierre à l’édifice dans le développement du Gabon, via la formation de milliers de jeunes gabonais jusqu’à présent.

À IHEM, on s’en félicite de voir que dans l’administration publique ou privée, plusieurs des éléments formés dans leur école. Une école supérieure qui vient de loin. En effet, pour ceux qui ne le savent pas, le Groupe IHEM est un établissement d’enseignement supérieur à vocation professionnelle qui a vu le jour en 2003.

Un établissement supérieur pour participer à la formation de la jeunesse gabonaise et africaine.
Depuis son premier site d’Awendjé dans le 4e arrondissement de Libreville, jusqu’à Bel-Air en passant par la Peyrie au lieu-dit STFO (3e arr.), le groupe IHEM a fait du chemin en termes d’effectifs d’étudiants et d’offre de formation. Raison ? Au début avec un effectif de 20 étudiants, actuellement cette Ecole supérieure revendique plus de 2000 étudiants en moyenne annuellement. Toute chose qui fait que l’IHEM a formé de nombreux compatriotes qui exercent présentement dans la haute administration publique et privée.

Au regard des acquis, on ne s’empêche pas dans cette école supérieure de s’en féliciter que « c’est une fierté, une véritable fierté pour le groupe IHEM d’accompagner le gouvernement dans l’œuvre d’éducation et de formation de la jeunesse de notre pays, en tête desquels le président de la transition, chef de l’État qui ne ménage aucun effort pour l’encadrement de l’action qui est la nôtre à l’instar de l’octroi il y a quelques mois, de deux décrets presidentiels: un décret portant habilitation à fonder et un autre portant autorisation à ouvrir un établissement d’enseignement supérieur à vocation technologique et professionnelle ».

Mieux, : « En plus de l’étape gabonaise, nous avons signé des partenariats académiques » en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord, « sans oublier les partenariats avec les entreprises, les administrations publiques, au nombre de 1500 environ, qui reçoivent nos étudiants chaque année en stage et en emplois. » Aujourd’hui, lorsque vous allez dans toutes les administrations publiques ou privées, vous retrouverez nos étudiants et c’est une fierté pour nous. »

D’ailleurs, face à la campagne de délation et de nuisance ainsi faite sur les réseaux sociaux, pour ainsi dire, le fondateur dudit groupe ferme le caquet aux oiseaux de mauvaise augure.

« Le Groupe IHEM existe depuis près de 25 ans aujourd’hui. » Ce qui doit nous préoccuper, ce sont les critiques faites sur notre capacité à offrir sur le marché national et international des formations qui répondent au marché de l’emploi. Toute autre critique ne viserait qu’à nous divertir. Concentrons-nous sur les objectifs de programme que nous nous fixons chaque année », a déclaré l’éminent Dr Oyono Ebang Constant. Mieux encore, il a ajoute : « Quand on fait ce qui nous passionne, on y met toute notre énergie ».

Pour être arrivé à ce niveau répercuté par ces résultats, c’est beaucoup d’années de don de soi, de travail et d’abnégation. Aucune magie ne peut permettre d’arriver à ce niveau, il faut être ingénieux.

Et en guise de conclusion et à la décharge des esprits retors et écervelés, le Président Dr Oyono Ebang Constant a déclaré : « Notre pays a beaucoup copié de son colonisateur en matière de chantage. » Rappelons-nous du concept des biens mal acquis. C’est une émanation française et qui a servi bien des gens en France et ailleurs à escroquer des chefs d’État et autres hautes personnalités à travers le monde. Notre établissement est une multinationale par notre présence au Cameroun et au Sénégal, outre le Gabon. Cela voudrait dire til dire que l’IHEM, dans tous ses sites, aurait profané des tombes. En France comme au Gabon, on n’aime pas les gens qui réussissent ».

Le Gabon est un jeune pays à la recherche des procédés de développement, le docteiur constant oyono ébang fait partie des atouts sur lesquels il doit s’appuyer poir explorer son potentiel. En effet, l’oeuvre déja réalisée par ce jeune compatriote fait déjà de lui un champion dans le monde de l’éducation. Car il opère déja à l’international les manoeuvres visant à le sabotter dans son pays ne grandissent pas le gabon, qui au contraire gagnerait à le protéger s’il recule, c’est le gabon qui reculera d’un pas.

Kevin aymard Lelengui

Jessy MBOUKOU

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *