Effet boomerang : un « journaliste citoyen » rattrapé par ses élucubrations
La recherche du sensationnel ou la course au scoop, voire diffamer ou schizophréniser, commence par devenir une pathologie chez bon nombre de zigs qui en font leur fonds de commerce. Ils élucubrent, en entubant l’opinion. Motif ? Tout ce que l’on peut lire sur les réseaux sociaux – et dans une certaine presse et endiablée –, depuis un moment, sur le Dr Oyono Ebang Constant, le PDG du Groupe Institut des Hautes Etudes de Management (Groupe IHEM).
L’écrivain italien Umberto Eco, mort le 16 février 2016, qui avait écrit le livre à succès Le Nom de la Rose, a laissé à la postérité une épitaphe qui résume tout ce qui se dit actuellement sur le Dr Oyono Ebang Constant : « Les réseaux sociaux ont donné le droit à la parole à des légions d’abrutis qui avant ne parlaient qu’au bar et ne causaient aucun tort à la collectivité. » On les faisait taire tout de suite. Aujourd’hui, ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. Et pour cause.
Des esprits retors, pour ne pas dire mal embouchés, colportent n’importe quoi sur les réseaux sociaux.
Toute une tonne d’informations saugrenues et erronées pour abuser de l’opinion sur le Dr Oyono Ebang Constant. Les experts de l’affabulation et de la calomnie ont annoncé l’interpellation du Dr Oyono Ebang Constant à la Direction générale des recherches (DGR). Ce qui est vraiment faux. Il n’a jamais été arrêté.
Selon nos investigations et de sources sûres, les Colombos de la DGR n’ont jamais mis la main sur le Président-fondateur du groupe IHEM, le Dr Oyono Ebang Constant. Encore moins, avoir été placé en garde à vue. Pour dire vrai, les affabulateurs et prestidigitateurs devraient trouver autre chose que d’élucubrer sur du mensonge. Pour leur rincer le ciboulot, si le Dr Oyono Ebang Constant été aperçu à la DGR, c’était juste pour faciliter le traitement d’une plainte qu’il avait déposée contre le pseudo journaliste. L’affaire ayant déjà été transmise par le parquet de la République près le tribunal de première instance de Libreville au camp roux à des fins procédurales sur une plainte et une demande de cessation de troubles déposées par l’intègre et honorable Dr President Oyono Ebang Constant.
Voilà pour ce qui est de la restitution de la vérité. Le fumiste « journaliste citoyen » est plutôt un as du mercenariat plumitif qui n’a pas fait des études de journalisme comme il le proclame. C’est un champion de l’affabulation. Sentant qu’il va subir l’effet boomerang, il tente de faire croire à l’opinion autre chose: un marabout de la presse. Le gratte-papier qui passe le plus de son temps à divaguer sur les réseaux sociaux, cherche simplement à nuire à la réputation, non seulement du Dr Oyono Ebang Constant, mais aussi au groupe IHEM, qui vient de sortir de terre son campus siège construit sur fonds propres au quartier Bel Air, dans le 1er arrondissement de Libreville.
Car, à voir l’acharnement avec lequel ce « journaliste citoyen » s’échine à porter des attaques malveillantes sur le Dr Oyono Ebang Constant, on se demande ce qui motive cet écrivaillon.
Malheureusement pour le « journaliste citoyen », il a cru bien faire en usant du mensonge pour espérer porter l’estocade contre le Dr Oyono Ebang Constant. Manque de bol pour ce pseudo journaliste coutumier des faits : une plainte est désormais pendante contre lui pour diffamation, violation de la propriété d’autrui, atteinte à l’image commerciale, incitation à la haine et voies de faits. Pour ces quatre délits présumés, il est donc poursuivi au tribunal pour allégations mensongères.
Notre « journaliste citoyen » Moutouki doit répondre et apporter la preuve de ses assertions.
Pour votre gouverne, depuis que le Président-fondateur du groupe IHEM a décidé de quitter la location, en construisant en bonne et due forme sur sa parcelle acquise et en y construisant sur fonds propres un campus dans l’arrondissement susmentionné, le voilà qui fait l’objet d’une cabale médiatique et d’un chantage financier.
Tout cela, parce que l’IHEM a atteint une autre dimension de notoriété. Ce n’est rien d’autre que de la pure jalousie et de la sorcellerie. À l’instar de l’agitation puérile de ce « journaliste citoyen ».
Kolman